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Se réconcilier avec son enfant intérieur

DECEMBRE
Bon sens et simplicité sur les pas d’un petit ourson

Une envie d’insouciance, un désir d’enfance. C’est un appel que l’on peut ressentir très fort lorsque remontent de notre mémoire, au moment où la fête est tout juste là, des souvenirs d’avant et ce profond besoin de spontanéité.

Et si l’on se posait moins de questions? On aimerait dire son émerveillement, crier de joie comme un enfant à la vue des lumières qui brillent et des vitrines remplies de jouets, mais on n’ose pas. On n’ose plus.

Alors, on se tourne vers des plaisirs et des occupations d’adulte. Restons sérieux et, sérieusement, pensons à notre bien-être, à ce que nous pourrions entreprendre – en dernière minute – pour que l’année qui vient soit à notre goût.

C’est alors que le hasard – ou un petit lutin espiègle mais bien intentionné –  nous fait tomber entre les mains un petit bouquin à la couverture colorée, illustrée d’un ourson concentré sur son cerf-volant.

 

« Quand tu as marché pendant des kilomètres
avec le vent qu’il y a,
que tu entres soudainement chez quelqu’un, et qu’il te dit:
hello Pooh, tu arrives juste à temps
pour un petit morceau de quelque chose,
alors c’est ce que j’appelle une journée amicale. »

 

Parole de Winnie the Pooh… le célèbre Winnie l’ourson de notre enfance.

Nous voici plongés en un instant dans un ravissement tout en simplicité, grâce à un auteur – adulte mais un peu môme tout de même – qui imagine sa rencontre avec Winnie, petit ourson devenant maître de sagesse sur la voie du Tao. Ce bijou d’humour et de tendresse se nomme donc Le Tao de Pooh*.

Dans les pas de Winnie The Pooh, la fête, ce sont les petites joies du quotidien; et l’année à venir… 365 jours à cueillir.

Et les bonnes résolutions ? «Quand tu essaies trop fort, ça ne marche pas», remarque le sage petit ourson.

*Le Tao de Pooh, par Benjamin Hoff. Picquier Poche